MONDE DE LA MALAY

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Tant de choses ont été dites et écrites sur le vaste potentiel de l'écosystème technologique malaisien - et pour toutes les bonnes raisons.

Au sein de l'ANASE, la Malaisie a été l'un des premiers pays à investir dans l'économie numérique avec la création de plusieurs agences gouvernementales, des politiques d'ensemencement, des plans de l'industrie et des programmes d'accélération de développement. Couplé à sa société multiculturelle, à la facilité d'adoption dans les services d'économie numérique et à une classe moyenne bien exposée, la nation a toujours été une destination de choix pour les organisations asiatiques et multinationales pour étendre leurs empreintes commerciales. Microsoft, Intel, NTT, Dell et Sony, par exemple, ont tous des centres d'établissements établis en Malaisie

Et pourtant, il semble que la Malaisie soit en retard dans les investissements technologiques ces dernières années. En 2019-2020, il a été investi que 362 millions de dollars américains (1,51 milliard de RM) dans des startups malaisiennes - un certain nombre éclipsé par 5,63 milliards de dollars américains en Indonésie et 1,47 milliard de dollars de Singapour. Les pays voisins - la Thaïlande et le Vietnam - avec des investissements en TIC moindres dans le passé - ont attiré beaucoup plus de capitaux de capital-risque et de croissance au cours de la même période. Plus troublant est le nombre d'investisseurs en capital-risque de considérer la Malaisie comme un marché d'investissement opportuniste plutôt que comme un objectif clé de leur mandat d'investissement.

[RM1 = 0,239 US]

Il est également vrai que jusqu'à très récemment, la Malaisie a constaté que la pose de la pose d'avoir sa propre «licorne» - une startup privée dont l'évaluation des investissements dépasse 1 milliard de dollars - pour être insaisissable, par rapport aux voisins de l'Asean Indonésie, Singapour et le Vietnam. Les badges «Unicorn» apportent une confiance globale (peut-être en partie l'orgueil) aux écosystèmes technologiques en herbe, et l'effet de halo qui en résulte entraîne une distance supplémentaire dans les disparités de financement sur ces marchés.

Les fondateurs de startups technologiques malaisiennes ont également tendance à être autosuffisante sur le marché de la Malaisie - considérée comme «timide» et «manque d'audace» dans leurs plans d'expansion pour les investisseurs non malaisiens. Souvent, leur accent initial sur l’enracinement dans la population de 32,7 millions de personnes en Malaisie devient une préoccupation permanente. Le marché malaisien, bien que de taille décente par des mesures traditionnels, ne peut pas réaliser pleinement le potentiel de l'ère de l'économie numérique pour attirer la puissance de la plaque de centre de divers services de cloud, de SaaS et de plate-forme - par rapport à la construction captive des entreprises de 1 milliard de dollars américains Pour les 266,6 millions d'Indonésie, 266,6 millions de startups, 16 000 œuvres de jeu de l'île, ou l'état d'esprit à l'échelle des fondateurs singapouriens qui visent à devenir régionaux, sinon mondiaux à partir du jour 1.

Cela dit, nous avons assisté à des pousses vertes au cours des derniers mois. Bright Spots a parsemé le paysage des startups malaisien: l'acquisition de 45 millions de dollars de Fave par Pine Labs, les entrées imminent de Carsome et Aerodyne dans le statut de la licorne, les plans SuperApp d'AirAsia se longeant à la vitesse supérieure et bien sûr - Grab - un listing de startup né et incubée malais Spac à une valeur rapportée pouvant aller jusqu'à 40 milliards de dollars américains. L'écosystème technologique de la Malaisie arrive enfin à maturité, et c'est le moment de débloquer les licornes sous-estimées, inexploitées et inconnues de la Malaisie.

Sous-estimé

Pour toutes les préoccupations concernant la capacité de l'écosystème malaisien à créer Indonésie. Peut-être un sous-produit d'être handicapé dans la collecte de fonds étrangers et l'expansion régionale, les startups malaisiennes semblent avoir trouvé des moyens de développer des entreprises avec de bons modèles commerciaux en mettant l'accent sur la rentabilité.

Les fondateurs malaisiens ont démontré leur ingéniosité dans la mise à profit des partenariats d'entreprise au-delà des projets de preuve de concept, et ainsi que de faire pression pour des subventions de soutien gouvernemental et d'autres avantages pour développer durablement leurs entreprises et leur écosystème. Il semblerait que cette approche ait donné des avantages lors d'événements de liquidité tels que les introductions en bourse.

De plus, les startups locales ont accès à un bassin de talents diversifié et qualifié. Le résultat d'années de développement dans l'écosystème grâce à des entités telles que le Malaysian Global Innovation and Creativity Center, Cradle Fund et Malaysian Digital Economy Corporation.

Avec Covid-19 testant le meilleur des fondateurs, les années de développement de ces entités porteront maintenant des fruits, car les fondateurs malaisiens démontrent leur courage dans des environnements plus équitables par rapport à leurs homologues régionaux.

Inexploité

Aux yeux de nombreux investisseurs, l’écosystème de la Malaisie est en effet un diamant dans le brouillard - plein d'idées et de potentiel et en attendant le bon et opportun de stimulus pour être le berceau de milliers de startups à succès. Au-delà de l'investissement financier, la clé pour débloquer ce potentiel correspond à des conseils en temps opportun aux différentes étapes de la fondation pour s'assurer que leurs startups sont prêtes aux investisseurs. Le coaching ciblé avec des mentalités régionales et mondiales fournira à ces startups une bonne base lors de la randonnée au-delà des côtes malaisiennes.

Les startups malaisiennes ont besoin d'une forte éthique GO sur le marché, en mettant l'accent sur la mise à l'échelle de leurs modèles au-delà des frontières du marché fondateur. De nombreux investisseurs de suivi se tournent vers les startups malaisiennes qui ont prouvé avec succès qu'elles peuvent créer une entreprise sur un autre marché comme signal de viabilité et d'invesbabilité. La nécessité de devenir régionale à partir du moment de la création n'est pas négociable.

Enfin, la Malaisie d'entreprise doit jouer son rôle pour soutenir l'écosystème de démarrage. C'est une chose pour le gouvernement de catalyser la croissance grâce à des subventions, des allégements fiscaux et d'autres avantages, mais à long terme, les sociétés doivent jouer un rôle dans la création d'un environnement pour que les startups développent des collaborations à long terme qui pourraient conduire à des investissements ou des acquisitions. Il est encourageant de voir des entreprises telles que Sunway Group, Petronas, Axiata et AirAsia être active dans l'espace de démarrage, mais davantage d'entreprises devraient emboîter le pas.

Inconnue

Il y a des milliers de fondateurs malaisiens qui construisent des sociétés technologiques rentables à Kuala Lumpur, Penang, Johor Bahru, Kuching et dans d'autres villes. Les estimations officielles des startups indiquent qu'il y a environ 3 000 startups en Malaisie. Cependant, le nombre peut être considérablement plus élevé. Beaucoup de ces entreprises sont structurées comme de petites entreprises moyennes qui utilisent la technologie pour atteindre leur public. Il est regrettable que ces entreprises ne s’appliquent pas, mais c'est la possibilité pour la Malaisie - de transformer ces sociétés en startups soutenues par une entreprise à forte croissance qui peuvent croître au niveau régional et au-delà.

Les fondateurs malaisiens devraient également faire leur part. Ils doivent secouer leurs personnalités légères et communiquer leurs plans de croissance au-delà de l'horizon lorsqu'ils parlent avec des partenaires régionaux et des investisseurs. Dans de nombreux cas, lorsqu'ils le font, ils réussissent comme un succès comme Tony Fernandes, Patrick Grove, Anthony Tan, Joel Neoh, Eric Cheng et Kamarul Muhamed. Les fondateurs malaisiens seront perçus aussi bons que la façon dont ils se perçoivent.

En fait, l'indice mondial de l'entrepreneuriat (GEI) le plus récent produit par l'Institut mondial d'entrepreneuriat et de développement (GEDI) en 2019, qui vise à fournir une évaluation holistique de la fondation entrepreneuriale des pays et à permettre des comparaisons normalisées, montre la Malaisie dans une promesse léger. Parmi ses pairs régionaux, la Malaisie marque le deuxième plus haut avec 40,1, derrière Singapour (52,4) et en avance sur la Thaïlande avec un score correspondant de 33,5.

Déverrouiller le potentiel de la Malaisie

Nous pensons que la récente série de nouvelles prometteuses de l'écosystème n'est pas seulement un événement aléatoire, mais plutôt le début de l'émergence de la Malaisie en tant que poids lourd de startup dans l'ANASE. C'est l'aboutissement d'années d'investissement par le gouvernement, les entrepreneurs de retour, les vétérans de l'industrie et les investisseurs. C'est le moment de doubler.

Pour s'assurer que l'écosystème malaisien maintient cette trajectoire, une intervention est nécessaire pour s'assurer que les startups ascendant ont la bonne perspective et la bonne concentration pour atteindre une croissance significative. Avec le capital stratégique, le coaching et les stratégies efficaces sur le marché, nous pensons que nous pouvons découvrir des gemmes dans cet écosystème ascendant.

Et cela a permis de se réunir en 2020, le premier programme d'investissement important par un VC international en Malaisie en Malaisie. Nous avons fait un effort concerté au cours de la dernière année pour nous concentrer sur le toilettage et le développement de startups en Malaisie, en tirant parti de l'expérience des deux équipes et de leurs écosystèmes. La participation de Quest Venture dans le programme de Scaleup Malaysia a non seulement apporté des investissements directs étrangers dans les entreprises dans la cohorte 2 de la Malaisie de l'échelle, mais a également servi de catalyseur pour un changement dans l'état d'esprit dans les fondateurs participants. Les entreprises ont été entraînées dans le programme sur l'accès multiple et simultané sur le marché, les stratégies de tarification et les meilleures pratiques lors de la lutte avec les investisseurs. L'accès à un réseau régional d'entreprises, d'investisseurs et de partenaires de l'ANASE, de la Chine, de l'Inde et de l'Asie centrale a fourni de nombreuses opportunités à la collaboration et a forcé nos entrepreneurs à se comparer sur une scène mondiale au lieu d'être simplement des héros locaux.

Alors que nous sortons de la pandémie covide-19 et du marécage économique qu'elle a transformé sur l'économie mondiale, les startups malaisiennes ont la possibilité de diriger par le front. Scaleup Malaysia et Quest Ventures visent à continuer d'être le port d'appel pour les startups en Malaisie qui veulent devenir des réussites en petits groupes. Alors que la cohorte 3 commence, nous visons à construire sur les bases solides que nous avons commencées dans Cohort 2 - avec un laser se concentrant sur la recherche de la prochaine grande réussite de la Malaisie. Nous vous invitons à vous joindre à nous dans ce voyage! C'est le moment où les startups de Malaisie se déchaînent. Entrepreneur qui a quitté avec succès sa startup en 2018, Aaron Sarma est un investisseur actif et un leader de l'écosystème en Malaisie et est un partenaire général, Scaleup Malaysia. Basé à Singapour, Jeffrey Seah était un leader de niveau C dans la publicité et les médias en Asie du Sud-Est avant de déménager dans le monde de la capitale de capital-risque. Il est partenaire, Asia Fund, Quest Ventures.